Le cheikh éducateur ne cesse de faire cheminer le disciple dans les passages sinueux de la nefs « l’ego » et de l’élever dans les degrés du Nom d’Allah pour accéder à sa propre connaissance puis celle de son Seigneur. Ainsi donc, il garde sa « tombe », et ce, par les paraboles et symboles poétiques. Il comprendra ainsi, artistiquement, et mènera la vie de la proximité en écoutant les mots qui font vivre les âmes ; car le sommelier comme l’eau est unique, mais les fruits des disciples ne sont ni interdits, ni interrompus.